Notre livre ~Ecriture~

=_=" euh elle vraiment pas joyeuse l'histoire là... j'aime bien vos récits et tout mais c'est archi triste...

Je sais, mais j'ai horreur des romans où tout est parfait, j'appelle ça navet. Je préfere les romans émouvants. Bon, je vais pas raconter ma vie, mais quand j'étais petite ( 5,6 ans) j'avais regardé le roi lion, et c'est une histoire assez triste qui m'a marqué, et je pense que les romans émouvants on s'en souvien. Un roman aussi qui m'a marqué c'est l'oeil du loup, et cette histoire, c'est pas la joie non plus, maintenant vous faites ce que vous voulez avec vos morceaux. J'ajoute que dans beaucoup de livre, tout se termine bien, et je n'aime pas trop, c'est vraie, à quoi sa sert de faire une histoire quand on sais que sa va bien se terminer. Moi j'aime ce genre de suspens : va t-il vivre ou mourir ?

Oui c'est vrai que c'est beaucoup mieux. Normallement c'est comme les contes de fées "Et la princesse viva heureuse avec son prince charmant.."trop nul.
Sinon je continue ou je laisse une semaine à Sabot ?

Vasi continue ;)

Okay c'est bon c'était juste mon avis... Pis dans un roman c'est toujours possible qu'il meurt (OK ça n'arrive pas souvent), sauf bien sur quand tu vois que tu es au début de l'histoire XD.
Moi les livres qui me marquent sont soit ceux qui me font réfléchir à la vie (très troublant), soit ceux qui sont tellement bien que après tous les autres livres sont nuls...

Au tour de Sandrine ;)

Désolé pour le double post, mais voici un récapitulatif (j'ai corrigée un maximum de fautes) :

Je hai les hommes.
Je les hai plus que tout au monde.
Ils ne pensent qu'a leur argent et qu'a leurs problèmes.
Ils ne comprennent pas que nous avons un coeur, nous, les lynxs...

Par une belle journée d'été, j'etais enfin né,
ma mère me ragardait, avec ses grands yeux remplis de bonheur.
Elle m'avait apris à chasser, à me débrouiller seul, mais il y a une chose qu'elle n'a put jamais m'apprendre, la prudence. J'avais confiance en tout le monde, pour moi, les prédateurs étaient mes amis. Il y a qu'avec le temps que j'ai appris cette lotion, la prudence...
On apprend les choses toujours trop tard, du moins, c'est mon cas.
Il a fallut un accident pour que je comprenne, Malheureusement, je n'ai pas put revenir en arrière. Il était trop tard...

Ce jour-là, était pour moi un grand pas, j'allait chasser seul.
Ma mère m'avait dis bonne chance, je lui avait dit a tout à l'heure, si seulement j'avais sus, je lui aurait dit adieu...
Je partie donc chasser, les oiseaux chantaient, les abeilles bourdonnaiet, la brise sifflait...et un coup de fusil retentissait...

Sur ce coup là je ne réalisais pas que cette balle était
destinée à maman car je ne connaissais pas tout le danger. Je continuais ma
chasse et j'apercevais un lapin ! Je me cachais derrière un buisson comme maman
m’avais appris ! J’attendais une seconde et je bondissais, ferma les yeux pour avoir une surprise si j’avais
attrapé la proie ! J’ouvris les yeux et je voyais le lapin gigoté. J’ouvris
ma gueule et planta les crocs sur le coup le lapin moura. J’étais tellement
fier de moi ! Quand je rentrerais à la maison maman va sautée de joie !! …

J'avais donc pris le chemin vers la maison, ma proie dans ma gueule, la tête haute. Tout à coup, j'avais vu ma mère, couché sur le sol poussieureux, les yeux fermés.
-Maman, tu te réveille... Viens on rentre... Maman...
Je lui tirais l'oreille à plusieurs reprises...
-Maman, viens, j'ai attrapé un lapin....
Je m'étais mis à crier "A l'aide, s'il vous plait !"
A ce moment précis, j'avais compris que ma mère ne reviendrais jamais... Je pleurait, je pleurait. Je m'étais couché auprès de ma mère allongé et des sanglots avaient éclatés...
Il fallait que je parte, je ne pouvez plus rester là...


Je courais non sans verser de larmes. Mais je ne trouvais point d'endroit où me réfugier. Au loin, j'aperçus une belle clairière où il y avait une eau claire et fraîche, des arbres plus hauts que le bout de mon nez. Je pensais m'y reposer un instant. Soudain, un coup de feu me fit sursauter, alors je partis un peu plus loin...

Je devais courir pour me sauver, m'éloigner des hommes. Je voyageai toute la journée sans relache. J'aperçevais au loin la lueur d'un feu, cette lueur accompagnée d'une odeur noséabonde, celle de la viande grillée... Je déteste cette odeur presque autant que les hommes, car je ne mange que de la viande crue, c'est bien connu ! Je la détestais encore plus ce soir là, car je me disais que c'était peut-être maman qui était dessus... Je m'assis contre un arbre, dévora ma proie, puis m'endormit, en pensant aux horreurs que les hommes font dans le monde...

Je n'arrivais pas à dormir ! Je tournais dans tous les sens ... j'arrêtais pas de pensait à maman ... Je me réveillais puis je regardais les étoiles , quand soudain une lumière éclatante apparaissais ...et devinais quoi ???? Je voyais maman !! Oui c'était bien maman !!
- MAMAN !!!
- Mon chéri ! Comment vas-tu ?
- Oh très bien maman je suis content que tu sois de retour :D
- Mon chéri , je ne peux plus revenir ... tu me vois parmis les étoiles mais sinon je ne suis plus là ... Quoi qu'il arrive je suis toujours auprès de toi fais bien attention aux humains je dois partir ... Au revoir mon chéri ...
- Non attends maman ne ..... pars pas.....
Je regardais une dernière fois les étoiles en laissant un bisous à maman puis je m'endormais profondément ...

Ce matin là, je m'étais réveillé tôt, contrairement a d'habitude.Le soleil venait à peine de se lever. J'entendit au loins un ruisseau, j'y alla pour m'abrever. Je m'avança vers l'eau quand je vit dans mon reflet, le visage de ma mère, elle me souriait, comme quand je venait de naître, un sourire doux et tellement agréable, un regard malicieux remplis de joie et d'amour. Une larme venant du plus profond de mon coeur me vaint et tomba sur le visage de ma mère et se reflet si doux disparut aussi soudainement qu'il était apparut. La seule chose que j'ai put réaliser, c'est que quand une personne n'est plus là, on pense à elle encore plus que quand elle était encore sur terre et que pour aimer une vivante, il faut l'aimer comme si elle devait mourir demain... Cette phrase tourbillonait dans ma tête comme une tornade, mais je ne voulais pas la croire mais c'était la vérité. Je n'étais pas gentil avec ma mère, et la dernière parole que j'avait pu lui dire c'etait "laisse moi aller à la chasse seule, ne t'en mêle pas, a tout à l'heure" ! Maintenant qu'elle n'est plus là, je l'aime, je l'adore, elle me manque tellement !

Je me retournait pour partir, quand je vit un petit biscuit par terre. Je le mangea et j'en vit un autre, et tout cela sur un petit circuit ! C'était super j'avais tellement faim ! Tout à coup, je pris un biscuit, et m'étais retrouvé dans une cage, c'était en fait un piége....

Dans le piège, je me sentis en colère contre les humains et j'essayer de me débattre avec mes pattes pour sortir. Mais impossible de sortir...Soudain un reflet d'homme avec un fusil apparait. Quand je le vis, je pensais à ma mère donc je pris toutes mes forces pour sortir. Et cela à marcher j'ai réussi à casser un barreau. Je sauta de la cage et je bondis sur lui. Je le mord et le griffa en pensant à ma mère...

Je voyais d'autres hommes arrivés, armés bien sûr. Je devais fuir, fuir loin d'eux, loin du malheur !! J'étais encerclé mais j'aperçus une issue. Une. Une seule. Les coups tombaient sans arrêt je me suis sauvé de justesse mais on m'avait blessé à la patte... Je devais à tout prix m'éloigner de cet horrible endroit...


Je continuait mon chemin mais je m'arrêta net ... J'avais trop mal à ma patte ... J'espèrais que j'allais guérir bientôt car les hommes rôdait et je n'était pas en sécurité surtout si j'était blessé !! Je perdait beaucoup de sang ... J'entendais au loin le bruit d'un ruisseau , je me relevais et y allais lentement ... Une fois arrivé près de ce magnifique ruisseau , je me coucha dedans pour me rafraîchir . Juste avant de quitter l'eau , je bu une gorgée et je sortis . Je regardai ma patte pour voir si ça allait mieux ... MIRACLE je ne perdais presque plus de sang OUAHOU l'eau avait stoppé le sang ! Je reprenais la route joyeux malgrès le reste de douleur et ...ma plus grosse blessure, celle qui ne guérira jamais, celle qui m'accompagnera tout au long de ma vie, cette blessure qui fait si mal, c'est celle de mon coeur....
Je marcha donc longtemps, je ne me nourissais qu'avec les feuilles, je ne m'abreuvais qu'avec la rosée, je me voyais si maigre quand je regardais mon reflet dans une flaque d'eau boueuse.
Pendant une longue marche sous le soleil qui tapait, je repensa à mon père, tout à coup je compris que mon père, lui, n'etait sans doute pas mort.
Une quête pour retrouver mon père m'attendait....

Je marchais pendant de longues heures pour le retrouver,
mais en vint. Je me suis reposé sous un arbre quand je sentis une patte me réveillé.
J’ouvris mes yeux, et je vois un autre lynx. Il me fait signe de me lever pour
que je le suive. Je me demandais où il m’amenait. Nous marchons pendant une
bonne demi-heure quand nous arrivons dans une grotte. Dans celle-ci se trouvait des bébés lynx et la
mère qui les allaiter. Des larmes montaient en moi, car ça me faisait très
pensé à moi étant bébé …

Le lynx me demandais d'ou je venait, pourquoi un jeune lynx comme moi trainait seul dehors. Mais je resta muet. Cette famille semblait tout à fait gentille mais les mots ne me venait pas, aucun son. La mère coucha ses cinq bébés et soigna ma blessure. Elle me souriait et me dit que j'étais en bonne compagnie, que je ne craignais rien. Je l'ai cru, mais du plus profond de mon coeur, j'étais en danger, elle étais en danger, tous étaient en danger car les hommes pouvaient arriver à tout moment !
Ils avaient compris que je n'avais plus de famille, il ignorait la raison, mais il savait qu'ils étaient désormais ma seule famille. Ils déciderent de m'appeller Zorca....
Je vécu 1 an et demi auprès d'eux. Je faisait maintenant partie de leur famille, ils étaient mes parents. J'avais appris à mes cinq frères le secret de la chasse. J'étais grand à present, presque majeure. C'est alors que mon père adoptif me dit "Ils ont besoin de toi la-bas, retourne les aider"... J'ignorais de quoi il parlait, qui était "Ils" ? Mon père continua : "Zorca, maintenant tu es un grand et je dois te dire...." Je lui coupa brusquement la parole "Ma mère est en vit, hein c'est ça ! Hein !" Je cria en versant des grosses larmes... "Zorca, écoute moi, quand tu étais petit, ta mère partageait sa grotte avec une autre mère. Elle avait une jeune fille, Nisca. Nisca a ton âge a present, et elle a besoin de toi..." Je lui dit "Ou puis-je la trouvé ?" "Je l'ignore, mais tu peux retourner dans ton ancienne habitation"...
Je courut donc rechercher Nisca....

Je courus très vite mais tout en regardant si il n'y avait pas d' hommes sur mon chemin. Quand je courais, j'avais l'impression de tourner en rond car les arbres se ressemblaient tous. Mais je vis au loin mon ancienne habitation, ici plein de choses avaient changé. Mais je la reconnus en versant quelque larmes mais je me rapelle de mon but. Retrouver Nisca. Au fond de la grotte je vis une lynx, je crois bien que c'est elle. Alors je lui demanda "Est-ce bien toi Nisca ?"
Elle ne me répondit pas car elle était assez en mauvais état alors je courus lui chercher de l'eau à la clairière près de la grotte...
Quand je suis revenu, elle avait disparu. Je l'ai cherchée partout puis j'ai fini par la trouver. Elle était aux portes de la mort. Je pris grand soin d'elle, et j'aperçus des blessures sur son corps. C'était encore l'oeuvre des hommes... Je passais donc une semaine avec elle pour la soigner. Après cela, elle put se lever, marcher, manger et boire sans aide. Nous commançâmes à parler
Je lui redemandais si c'était bien Nisca, et elle me répondit
oui. Mon cœur battait la chamade ! J'avais retrouvé Nisca ! Je lui expliqué
ce qui c'était passé avec ma mère ... les larmes montaient en elle, car sa mère était morte de la même façon ...
Je lui demandai si elle eut des nouvelles de mon père ,
s’il faisait toujours partie de ce monde … Elle me répondit qu’elle
l'avait vue il n'y a pas si longtemps mais elle ne savait pas si il est toujours là ...

Cela faisait maintenant une bonne semaine que Nisca et moi étions ensemble,
et nous pensâmes qu’il serait temps de retrouver mon père …

Nous ne savions pas où le trouver, nous n'avions aucune piste qui nous menerait à lui. C'est alors qu'une voix derrière nous apparut, < Je sais > disait-elle.
-Qui est-ce ? demanda Nisca.
-Je sais. Répondit la mysterieuse voix.
-Vous savez quoi ? Qui êtes-vous ? Ou est-ce que vous vous caché ?
-Je sais.

Un craquement de branche me fit me retourner, des yeux brillait dans les feuillages. Mes pattes tremblaient, celles de Nisca aussi. Tout à coup, un tigre arriva devant nous...

-Zorca, souviens-toi toi l'été dernier, il y a un an exactement tu étais partie à la chasse, en partant tu avais laissé tes empreintes de pattes qui ont conduit les chasseurs à la grotte de ta mère et de celle de Nisca
-Nan, arretez, je n'étais pas conscient que je laissez des traces..., répondit en pleurant Zorca
-Tu les a tué, c'est de ta faute !
-Nan, je ne savais pas... snif
-Meurtier !!
-Je vous le jure c'est pas de ma faute
-Tu l'avais fait expré, tueur...
-Nan, c'était une erreur
-Oh décidement tu tiens tête, mais à ce jour ta mère et morte et tu n'as plus personne sur qui compter et plus personne à tuer !
-Laissez-le, dit Nisca.
-Sache une chose, dit le tigre, tu es un assassin et tu vas le regretter...

Le tigre partit, laissant en larme Zorca...

-Ne l'écoute pas Zorca, dit Nisca, il se trompe...
-Nan, il a raison...
-Mais qui est-il ?
-Je l'ignore.... Mais il a raison...
-Etais-tu au courant que tu avais laissé des traces derrière toi après ?

Je resta muet...

Les phrases que ce tigre m'a dit n'arrêtaient pas de tourmenter dans ma tête. J'étais en larmes car je repensais très fort à mère...Mais mon but était de retrouver mon père. Après avoir séché mes larmes, je repensais au tigre qui m'avait dit "Je sais...". Mais il était parti quand je pleurais...Je dis alors à Nisca : "Il faut retrouver ce tigre car lui seul sait où est mon père" Elle me répondit alors avec un délicat hochement de tête et nous partîmes à la recherche de ce tigre que nous ne connaissions pas encore très bien...

Nous marchions depuis un moment quand nous vîmes un ours ! Nous restâmes terrorisés ... l'ours commença à nous attaquer ! Je m'enfuie les pattes à mon cou pensant que Nisca me suivait ... Je me réfugiai dans un petit buisson et je vis alors que Nisca n'était plus auprès de moi ! Je revins alors sur mes pas et découvris avec horreur Nisca par terre et l'ours qui commençait à la mordre ! Je ne pensai même plus au danger et je sautai sur l'ours en le mordant à mon tour . Celui-ci poussa un cri que toute la forêt entendit ... Il se retourna mais ne me vit pas car de son épaule , j'avais sauté sur une branche qu'il ne pouvait pas atteindre ... Il eut peur et partit ...
Je descendis pour voir l'état de Nisca ...

Elle était griffée au visage et avait une morsure sur le corps. Elle se remit vite sur pied, mais elle était très fatiguée. Nous nous mettâmes en route. Je lui demandai à plusieurs reprises si elle voulait qu'on s'arrete car je voyais que la marche devenait de plus en plus insurmontable pour elle à cause de ses multiples blessures, mais elle refusait d'abandonner.
Je marchais en tête quand tout à coup j'entendis Nisca tombé de fatigue derrière moi, je me retourna, son état avait empiré, elle était très mal. Il fallait que j'aille chercher de l'aide rapidement, mais nous étions sur un petit sentier desert. Je criai de toute mes forces, mais rien à faire. Je courus chercher de l'aide, mais en vint. Je fit donc demi tour pour retourner voir Nisca, car je devait faire face au problème sans aide, mais quand je suis revenue, il était trop tard. Nisca n'était plus de ce monde...
Je pleurais et m'allongeais auprès de Nisca car je voulait mourir à ce moment précis. Toutes les personnes que j'aimais, je les voyaient disparaitre à chaque fois...
J'entendis des pas et je vis le tigre de la dernière fois, il me dit :
-Encore une autre personne...
-Pourquoi m'avez vous pas aider, j'ai crier, répond Zorca en pleurant
Le tigre s'en alla à pas leger, je le suivit.

Merci pour le récapitulatif !

Le tigre s'en alla à pas léger, je le suivis...
Et nous marchâmes un moment puis il s'arrêta, se retourna en me disant avec force :"Pourquoi me suis tu ainsi ?"
Je lui répondis avec ma petite voix :"Vous ne m'avez pas encore répondu. Pourquoi ne m'avez vous pas aidé ? Maintenant Nisca n'est plus de ce monde...et tout ça ne se serait pas produit si vous m'aviez aidé !
-Ce n'est pas de ma faute c'est toi qui es parti, c'est comme avec ta mère, tu es parti et au retour ils sont partis à l'autre monde sans te le dire.
-Mais vous auriez pu l'aider...
-Non de toute façon il était trop tard...dit le tigre tristement
-Alors savez vous où est mon père ?"


Merci pour le récapitulatif, mais il y a encore quelques fautes...Je vais le corriger avec mon prochain post.

Désolée pour le double-post, j'ai tout corrigé ;)
Je hais les hommes.
Je les hais plus que tout au monde.
Ils ne pensent qu'à leur argent et leurs problèmes.
Ils ne comprennent pas que nous avons un coeur, nous, les lynxs...

Par une belle journée d'été, j'etais enfin né,
ma mère me regardait, avec ses grands yeux remplis de bonheur.
Elle m'avait appris à chasser, à me débrouiller seul, mais il y a une chose qu'elle n'a jamais pu m'apprendre, la prudence. J'avais confiance en tout le monde, pour moi, les prédateurs étaient mes amis. Il n'y a qu'avec le temps que j'ai appris cette notion, la prudence...
On apprend les choses toujours trop tard, du moins, c'est mon cas.
Il a fallu un accident pour que je comprenne, Malheureusement, je n'ai pas pu revenir en arrière. Il était trop tard...

Ce jour-là était pour moi un grand pas, j'allais chasser seul.
Ma mère m'avait dit bonne chance, je lui avais dit à tout à l'heure, si seulement j'avais su, je lui aurait dit adieu...
Je partis donc chasser, les oiseaux chantaient, les abeilles bourdonnaient, la brise sifflait...et un coup de fusil retentissait...

Sur ce coup là je ne réalisais pas que cette balle était
destinée à maman car je ne connaissais pas tout le danger. Je continuais ma
chasse et j'apercevais un lapin ! Je me cachais derrière un buisson comme maman
m’avais appris ! J’attendais une seconde et je bondissais, fermai les yeux pour avoir une surprise si j’avais
attrapé la proie ! J’ouvris les yeux et je voyais le lapin gigoter. J’ouvris
ma gueule et planta les crocs sur le coup le lapin mourut. J’étais tellement
fier de moi ! Quand je rentrerais à la maison maman allait sauter de joie !! …

J'avais donc pris le chemin vers la maison, ma proie dans ma gueule, la tête haute. Tout à coup, j'avais vu ma mère, couchée sur le sol poussiereux, les yeux fermés.
-Maman, tu te réveilles... Viens on rentre... Maman...
Je lui tirais l'oreille à plusieurs reprises...
-Maman, viens, j'ai attrapé un lapin....
Je m'étais mis à crier "A l'aide, s'il vous plait !"
A ce moment précis, j'avais compris que ma mère ne reviendrait jamais... Je pleurais, je pleurais. Je m'étais couché auprès de ma mère allongée et des sanglots avaient éclatés...
Il fallait que je partes, je ne pouvais plus rester là...


Je courais non sans verser de larmes. Mais je ne trouvais point d'endroit où me réfugier. Au loin, j'aperçus une belle clairière où il y avait une eau claire et fraîche, des arbres plus hauts que le bout de mon nez. Je pensais m'y reposer un instant. Soudain, un coup de feu me fit sursauter, alors je partis un peu plus loin...

Je devais courir pour me sauver, m'éloigner des hommes. Je voyageai toute la journée sans relache. J'aperçevais au loin la lueur d'un feu, cette lueur accompagnée d'une odeur noséabonde, celle de la viande grillée... Je déteste cette odeur presque autant que les hommes, car je ne mange que de la viande crue, c'est bien connu ! Je la détestais encore plus ce soir là, car je me disais que c'était peut-être maman qui était dessus... Je m'assis contre un arbre, dévorai ma proie, puis m'endormis, en pensant aux horreurs que les hommes font dans le monde...

Je n'arrivais pas à dormir ! Je tournais dans tous les sens...je n'arrêtais pas de penser à maman...Je me réveillais puis je regardais les étoiles, quand soudain une lumière éclatante apparaissait...et devinez quoi ???? Je voyais maman !! Oui c'était bien maman !!
- MAMAN !!!
- Mon chéri ! Comment vas-tu ?
- Oh très bien maman je suis content que tu sois de retour :D
- Mon chéri , je ne peux plus revenir...tu me vois parmis les étoiles mais sinon je ne suis plus là...Quoi qu'il arrive je suis toujours auprès de toi fais bien attention aux humains je dois partir...Au revoir mon chéri...
- Non attends maman ne....pars pas.....
Je regardais une dernière fois les étoiles en laissant un bisou à maman puis je m'endormais profondément...

Ce matin là, je m'étais réveillé tôt, contrairement à d'habitude. Le soleil venait à peine de se lever. J'entendit au loin un ruisseau, j'y allai pour m'abrever. Je m'avançai vers l'eau quand je vis dans mon reflet, le visage de ma mère, elle me souriait, comme quand je venais de naître, un sourire doux et tellement agréable, un regard malicieux rempli de joie et d'amour. Une larme venant du plus profond de mon coeur me vint et tomba sur le visage de ma mère et ce reflet si doux disparut aussi soudainement qu'il était apparu. La seule chose que j'ai pu réaliser, c'est que quand une personne n'est plus là, on pense à elle encore plus que quand elle était encore sur terre et que pour aimer une vivante, il faut l'aimer comme si elle devait mourir demain...Cette phrase tourbillonait dans ma tête comme une tornade, je ne voulais pas la croire mais c'était la vérité. Je n'étais pas gentil avec ma mère, et la dernière parole que j'avais pu lui dire, c'etait "laisse moi aller à la chasse seul, ne t'en mêle pas, à tout à l'heure" ! Maintenant qu'elle n'est plus là, je l'aime, je l'adore, elle me manque tellement !

Je me retournais pour partir, quand je vis un petit biscuit par terre. Je le mangeai et j'en vis un autre, et tout cela sur un petit circuit ! C'était super j'avais tellement faim ! Tout à coup, je pris un biscuit, et m'étais retrouvé dans une cage, c'était en fait un piège....

Dans le piège, je me sentis en colère contre les humains et j'essayais de me débattre avec mes pattes pour sortir. Mais impossible de sortir...Soudain un reflet d'homme avec un fusil apparut. Quand je le vis, je pensais à ma mère donc je pris toutes mes forces pour sortir. Et cela a marché j'ai réussi à casser un barreau. Je sautai de la cage et je bondis sur lui. Je le mordis et le griffai en pensant à ma mère...

Je voyais d'autres hommes arriver, armés bien sûr. Je devais fuir, fuir loin d'eux, loin du malheur !! J'étais encerclé mais j'aperçus une issue. Une. Une seule. Les coups tombaient sans arrêt etje me suis sauvé de justesse mais on m'avait blessé à la patte... Je devais à tout prix m'éloigner de cet horrible endroit...


Je continuais mon chemin mais je m'arrêtai net...J'avais trop mal à ma patte...J'espérais que j'allais guérir bientôt car les hommes rôdaient et je n'étais pas en sécurité surtout si j'étais blessé !! Je perdais beaucoup de sang...J'entendais au loin le bruit d'un ruisseau, je me relevais et y allais lentement...Une fois arrivé près de ce magnifique ruisseau, je me couchai dedans pour me rafraîchir. Juste avant de quitter l'eau, je bus une gorgée et je sortis. Je regardais ma patte pour voir si ça allait mieux ... MIRACLE je ne perdais presque plus de sang OUAHOU l'eau avait stoppé le sang ! Je reprenais la route joyeux malgrès le reste de douleur et...ma plus grosse blessure, celle qui ne guérira jamais, celle qui m'accompagnera tout au long de ma vie, cette blessure qui fait si mal, c'est celle de mon coeur....
Je marchai donc longtemps, je ne me nourissais qu'avec les feuilles, je ne m'abreuvais qu'avec la rosée, je me voyais si maigre quand je regardais mon reflet dans une flaque d'eau boueuse.
Pendant une longue marche sous le soleil qui tapait, je repensais à mon père, tout à coup je compris que mon père, lui, n'etait sans doute pas mort.
Une quête pour retrouver mon père m'attendait...

Je marchais pendant de longues heures pour le retrouver,
mais en vain. Je me suis reposé sous un arbre quand je sentis une patte me réveiller.
J’ouvris mes yeux, et je vis un autre lynx. Il me fit signe de me lever pour
que je le suive. Je me demandais où il m’amenait. Nous marchâmes pendant une
bonne demi-heure quand nous arrivâmes dans une grotte. Dans celle-ci se trouvait des bébés lynx et la
mère qui les allaitait. Des larmes montaient en moi, car ça me faisais très
penser à moi étant bébé…

Le lynx me demandait d'où je venais, pourquoi un jeune lynx comme moi trainait seul dehors. Mais je restais muet. Cette famille semblait tout à fait gentille mais les mots ne me venaient pas, aucun son. La mère coucha ses cinq bébés et soigna ma blessure. Elle me souriait et me dit que j'étais en bonne compagnie, que je ne craignais rien. Je l'ai cru, mais du plus profond de mon coeur, j'étais en danger, elle étais en danger, tous étaient en danger car les hommes pouvaient arriver à tout moment !
Ils avaient compris que je n'avais plus de famille, ils ignoraient la raison, mais il savait qu'ils étaient désormais ma seule famille. Ils décidèrent de m'appeler Zorca....
Je vécu 1 an et demi auprès d'eux. Je faisais maintenant parti de leur famille, ils étaient mes parents. J'avais appris à mes cinq frères le secret de la chasse. J'étais grand à present, presque majeur. C'est alors que mon père adoptif me dit "Ils ont besoin de toi la-bas, retourne les aider"...J'ignorais de quoi il parlait, qui était "Ils" ? Mon père continua : "Zorca, maintenant tu es un grand et je dois te dire..." Je lui coupai brusquement la parole "Ma mère est en vie, hein c'est ça ! Hein !" Je criai en versant des grosses larmes..."Zorca, écoute moi, quand tu étais petit, ta mère partageait sa grotte avec une autre mère. Elle avait une jeune fille, Nisca. Nisca a ton âge à présent, et elle a besoin de toi..." Je lui dis "Où puis-je la trouver ?" "Je l'ignore, mais tu peux retourner dans ton ancienne habitation"...
Je courus donc rechercher Nisca...

Je courus très vite mais tout en regardant si il n'y avait pas d'hommes sur mon chemin. Quand je courais, j'avais l'impression de tourner en rond car les arbres se ressemblaient tous. Mais je vis au loin mon ancienne habitation, ici plein de choses avaient changées. Mais je la reconnus en versant quelque larmes mais je me rapelle de mon but. Retrouver Nisca. Au fond de la grotte je vis une lynx, je crois bien que c'est elle. Alors je lui demandais : "Est-ce bien toi Nisca ?"
Elle ne me répondit pas car elle était assez en mauvais état alors je courus lui chercher de l'eau à la clairière près de la grotte...
Quand je suis revenu, elle avait disparu. Je l'ai cherchée partout puis j'ai fini par la trouver. Elle était aux portes de la mort. Je pris grand soin d'elle, et j'aperçus des blessures sur son corps. C'était encore l'oeuvre des hommes... Je passais donc une semaine avec elle pour la soigner. Après cela, elle put se lever, marcher, manger et boire sans aide. Nous commançâmes à parler
Je lui redemandais si c'était bien Nisca, et elle me répondit
oui. Mon cœur battait la chamade ! J'avais retrouvé Nisca ! Je lui expliquais
ce qui c'était passé avec ma mère...les larmes montaient en elle, car sa mère était morte de la même façon...
Je lui demandais si elle avait des nouvelles de mon père,
s’il faisait toujours parti de ce monde…Elle me répondit qu’elle
l'avait vu pas si longtemps avant mais elle ne savait pas si il était toujours là...

Cela faisait maintenant une bonne semaine que Nisca et moi étions ensemble,
et nous pensâmes qu’il était temps de retrouver mon père…

Nous ne savions pas où le trouver, nous n'avions aucune piste qui nous mènerait à lui. C'est alors qu'une voix derrière nous apparut, < Je sais > disait-elle.
-Qui est-ce ? demanda Nisca.
-Je sais. répondit la mysterieuse voix.
-Vous savez quoi ? Qui êtes-vous ? Où est-ce que vous vous cachez ?
-Je sais.

Un craquement de branche me fit me retourner, des yeux brillaient dans les feuillages. Mes pattes tremblaient, celles de Nisca aussi. Tout à coup, un tigre arriva devant nous...

-Zorca, souviens-toi toi l'été dernier, il y a un an exactement tu étais parti à la chasse, en partant tu avais laissé tes empreintes de pattes qui ont conduit les chasseurs à la grotte de ta mère et de celle de Nisca
-Nan, arrêtez, je n'étais pas conscient que je laissais des traces..., répondit en pleurant Zorca
-Tu les a tué, c'est de ta faute !
-Nan, je ne savais pas... snif
-Meurtrier !!
-Je vous le jure c'est pas de ma faute
-Tu l'avais fait exprès, tueur...
-Nan, c'était une erreur
-Oh décidement tu tiens tête, mais à ce jour ta mère est morte et tu n'as plus personne sur qui compter et plus personne à tuer !
-Laissez-le, dit Nisca.
-Sache une chose, dit le tigre, tu es un assassin et tu vas le regretter...

Le tigre partit, laissant en larme Zorca...

-Ne l'écoute pas Zorca, dit Nisca, il se trompe...
-Nan, il a raison...
-Mais qui est-il ?
-Je l'ignore.... Mais il a raison...
-Etais-tu au courant que tu avais laissé des traces derrière toi après ?

Je restais muet...

Les phrases que ce tigre m'avait dit n'arrêtaient pas de tourmenter dans ma tête. J'étais en larmes car je repensais très fort à mère...Mais mon but était de retrouver mon père. Après avoir séché mes larmes, je repensais au tigre qui m'avait dit "Je sais...". Mais il était parti quand je pleurais...Je dis alors à Nisca : "Il faut retrouver ce tigre car lui seul sait où est mon père" Elle me répondit alors avec un délicat hochement de tête et nous partîmes à la recherche de ce tigre que nous ne connaissions pas encore très bien...

Nous marchions depuis un moment quand nous vîmes un ours ! Nous restâmes terrorisés... l'ours commença à nous attaquer ! Je m'enfuis les pattes à mon cou pensant que Nisca me suivait...Je me réfugiai dans un petit buisson et je vis alors que Nisca n'était plus auprès de moi ! Je revins alors sur mes pas et découvris avec horreur Nisca par terre et l'ours qui commençait à la mordre ! Je ne pensais même plus au danger et je sautais sur l'ours en le mordant à mon tour . Celui-ci poussa un cri que toute la forêt entendit...Il se retourna mais ne me vit pas car de son épaule, j'avais sauté sur une branche qu'il ne pouvait pas atteindre...Il eut peur et partit...
Je descendis pour voir l'état de Nisca...

Elle était griffée au visage et avait une morsure sur le corps. Elle se remit vite sur pied, mais elle était très fatiguée. Nous nous mettâmes en route. Je lui demandai à plusieurs reprises si elle voulait qu'on s'arrête car je voyais que la marche devenait de plus en plus insurmontable pour elle à cause de ses multiples blessures, mais elle refusait d'abandonner.
Je marchais en tête quand tout à coup j'entendis Nisca tomber de fatigue derrière moi, je me retourna, son état avait empiré, elle était très mal. Il fallait que j'aille chercher de l'aide rapidement, mais nous étions sur un petit sentier désert. Je criai de toute mes forces, mais rien à faire. Je courus chercher de l'aide, mais en vain. Je fis donc demi tour pour retourner voir Nisca, car je devais faire face au problème sans aide, mais quand je suis revenu, il était trop tard. Nisca n'était plus de ce monde...
Je pleurais et m'allongeais auprès de Nisca car je voulais mourir à ce moment précis. Toutes les personnes que j'aimais, je les voyais disparaitre à chaque fois...
J'entendis des pas et je vis le tigre de la dernière fois, il me dit :
-Encore une autre personne...
-Pourquoi ne m'avez vous pas aider, j'ai crié, répondis-je en pleurant
Le tigre s'en alla à pas léger, je le suivis.

Cool la suite :D
A toi Tite lolo ;)

Alors savez vous où est mon père ?"

<< -Si je te dis où est ton père, tu vas le tuer.
-Non !!>>
Au fur et à mesure que le tigre parlait, je sentais les larmes monter en moi...
<<-Pourquoi ne m'aidez-vous pas ? Pourquoi ?
-Parce que tu es un meurtrier !!>>
J'étais anéanti par les paroles du tigre.

La suite :
- Tu n'as pas tort ... viens avec moi ...
-Ou allons-nous ?
-Suis moi...
Le tigre m'emmena dans une grotte, il y avait des photos de moi quand j'étais petit, puis quand je devenais grand. Il m'appris qu'en fait j'avais une petite tache de naissance sur le ventre (que je n'avais jamais remarqué auparavant puisqu'elle est sur le ventre), et cette tache me rendait rare, et c'est pour cela que les hommes s'en prenaient à moi sans relache, pour me capturer.
Ce tigre était en fait un ancien animal, nommé Tigor, qui était dans un zoo, il avait profité d'une opportunité pour s'évader. Après, il a connu mon père, c'était lui qui l'avait soigné, car ce tigre avait souffert pendant sa fuite. Il m'avait connu tout petit et avait raconté à mes parents que le zoo recherchait un lynx avec une tache sur le ventre, la même que celle que j'avais. Il fallait donc que je sois prudent pour ne pas me faire attraper par les hommes. Tigor m'apprit que mon père avait été attrapé par les hommes, et qu'il avait réussi à s'enfuir, mais qui de peur qu'on le retouve, avait quitté ma mère et moi, pour prendre une nouvelle identité. Malheureusement, Tigor n'avait pas plus de nouvelle que moi de mon père...
Je compris maintenant l'histoire de mon passé...
-Tigor, les hommes me traquent encore ?
-Oui, ils te traqueront jusqu'au jour ou il t'attraperont, me repondit-il...
-Mais pourquoi m'as-tu fait croire que ma mère était morte par ma faute ?
-Je ne voulais pas que tu apprennes la vérité, j'avais juré à ton père avant qu'il ne s'en aille de ne jamais mentionner cette histoire de tache.

Tout à coup, des coups de feu se sont mis à retentir, les balles s'échouaient sur le sol poussiereux, dégageant une immense poussière. J'ai put me cacher sous un tas de pierre. Quand les hommes furent partis, Tigor n'était plus là. Il avait disparu sans laissé de trace...
Je le cherchai dans toute la forêt, dans tous les sentiers, dans tous les endroits possibles, RIEN.

C'est trop bien ! Bravo Just !
Je fais la suite ?

Oui biensur ;)

Je le cherchai dans toute la forêt, dans tous les sentiers, dans tous les endroits possibles, RIEN.
Je le cherchai mais avec la crainte de tomber sur un homme car ils m'en veulent tous...
Je ne le trouvai pas, alors je m'assis et pleurai car il était le seul à savoir où père se trouve. Soudain, je vis une queue dépasser d'un buisson et je m'approchais de celui-ci. La chose m'attrapa et me referma la bouche et les yeux grâce à sa grosse patte touffue. Je ne voyais rien pendant un long moment. Je me demandais qui cela pourrait être...Quand celui-ci ôta sa patte de moi, je vis une rayure noire sur de l'orange. J'éclatai en joyeuses larmes car je pensai que c'était Tigor. Mais ce n'était pas lui...

Super !
A toi Tite lolo ;)

Super la suite !! Euh Justine, comment Tigor a-t'il obtenu les photos ?


Alors la suite :

Mais ce n'était pas lui...

Je découvris avec effroi que je m'étais fait avoir par les humains. La queue était fausse, et c'était elle que j'avais vue comme étant "une rayure noire sur de l'orange". Au moment où j'allais entrer dans une cage, une tigresse sortit d'un buisson, bondit sur l'humain qui me tenait, lui fit lâcher prise, et le griffa puis le mordit jusqu'à qu'il s'enfuie. Elle s'approcha ensuite de moi, et je pus la voir de près : elle était extrêmement jeune.

Super la suite !
Sinon maintenant que je réfléchis, c'est vrai comment a-t-il eu ces photos ?

Ba, j'essai d'ajouter des petits détails qui seront éclaircis plus tard dans le roman, sa fait un bon suspens je trouve...
A toi flamenco06 ;)

Pas de réponse...
Tempis je continue :

Elle s'approcha ensuite de moi, et je pus la voir de près : elle était extrêmement jeune.
-Coucou Grand-frère ! Me dit-elle
-Grand-Frère ? Répondis-je.
-Ce n'est pas toi Zorca ?
-Si mais je n'ai pas de soeur.
-Mes parents t'ont adopté tu te souviens ? Et c'est toi qui m'a appris à attaquer comme cela...

Un grand silence se fit entendre...

-Zorca, je suis Norry, tu te souviens, on étaient si proches tous les deux !
-Norry ! C'est bien toi ? Ca faisait tellement longtemps. Je suis contente de te revoir. Pourquoi es-tu ici ?
-Comme ça faisait presque un an qui tu étais partit, papa se posait des questions, je suis partie à ta recherche hier soir. Remarque, j'ai de la chance d'être tombé sur toi aussi rapidement et surtout au bon moment.
-Oui...
-Comment va Nisca ? Ou est-elle.

Je me retournai en versant une larme, puis je me suis retourner vers elle en restant muet

-Est-ce qu'elle est... Me dit-elle
-Oui, Attaqué par ours..
-Je te présente toutes mes condolé..
-Tais-toi ! On ne va pas s'ettendre sur le sujet !
-Excuse-moi.

Nous marchions, en même temps je lui racontait l'histoire, mon histoire.
Toujours pas l'ombre de Tigor. Les jours passerent et j'oublié peu à peu ce tigre courageux. Le chagrin c'est comme du riz dans un grenier, il diminue chaque jour un peu....