Notre livre ~Ecriture~

Bonjour.
Nous avons déterminé le début du roman, la voici :

__________

Je haie les hommes.
Je les haie plus que tout au monde.
Ils ne pensent qu'a leur argent et qu'a leurs problèmes.
Ils ne comprennent pas que nous avons un coeur, nous, les lynxs...

Par une belle journée d'été, j'etais enfin né,
ma mère me ragardait, avec ses grands yeux remplis de bonheur.
Elle m'avait apris à chasser, à me débrouiller seul, mais il y a une chose qu'elle n'a put jamais m'apprendre, la prudence. J'avais confiance en tout le monde, pour moi, les prédateurs étaient mes amis. Il y a qu'avec le temps que j'ai appris cette lotion, la prudente...
On apprend les choses toujours trop tard, du moins, c'est mon cas.
Il a fallut un accident pour que je comprenne, Malheureusement, je n'ai pas put revenir en arrière. Il était trop tard...

Ce jour-là, était pour moi un grand pas, j'allait chasser seul.
Ma mère m'avait dis bonne chance, je lui avait dit a tout à l'heure, si seulement j'avais sus, je lui aurait dit adieu...
Je partie donc chasser, les oiseaux chantaient, les abeilles bourdonnaiet, la brise sifflait...et un coup de fusil retentissait...

__________

Maintenant, à vous de continuer cette histoire.

S.V.P : Faites des phrases avec des mots recherchés, et vos phrase doit être jolie. Faites le moins de faute possible. Merci de ne pas changer le temps des phrases.

A chaque morceau de roman posté, un récapitulatif sera fait avec le roman depuis le début puis le morceau rajouté.

Regardez l'ordre des pseudos ci-dessous, la 1er personne commence l'histoire, elle doit ecrire un morceau du roman dans un délai d'une semaine sans quoi c'est la personne suivante de la liste ci-dessous qui continuera l'histoire. Si vous êtes pas là pendant une semaine ou plus que vous voulez sauter votre tour, merci de nous le prévenir sur ce topic et pas ailleur.

Pour la désinscription, contactez-moi par MP.


La liste des pseudos :

Flamenco06
Jùstiine
Sabot dans la Main
Sandrine
Tite lolo

C'est donc à Flamenco06 de commencer, puis ainsi de suite...


Pour ceux qui veulent nous rejoindre dans la création du roman, merci de me contacter par MP.

Bon je poste les corrections :

Ce jour-là, était pour moi un grand
pas, j’allais chasser seul.
Ma mère m'avait dis bonne chance, je lui avais dit a tout
à l'heure, si seulement j'avais sus, je lui aurais dit adieu...
Je partis donc chasser, les oiseaux chantaient, les
abeilles bourdonnaient, la brise sifflait...et un coup de fusil retentissait...
Sur ce coup là je ne réalisais pas que cette balle était
destinée à maman car je ne connaissais pas tout le danger. Je continuais ma chasse et j'apercevais un lapin ! Je me cachais derrière un buisson comme maman m’avais appris ! J’attendais une seconde et je bondissais, fermais les yeux pour avoir une surprise si j’avais attrapé la proie ! J’ouvris les yeux et je vis le lapin gigoter. J’ouvris ma gueule et planta mes crocs sur le coup le lapin décéda. J’étais tellement fier de moi ! Je pensais que quand je rentrerais à la maison maman sauterait de joie !! …


Voilà ce n'est pas tout à fait cela mais j'ai un peu corriger, si ça vous gêne dites-le moi.

Parce que c'est un récit au passé donc je mets l'impératif, et comme ça ne c'est pas passer (quand elle saute de joie), je mets du subjonctif.

Lorsqu'il raconte il le sait.

Génial Flamenco06 ! J'adore !
Merci Tite lolo, c'est gentil de ta part d'avoir corriger ;)
Bon, à mon tour ! Je continue.... :

....J’étais tellement fier de moi ! Je pensais que quand je rentrerais à la maison maman sauterait de joie !!

J'avais donc pris le chemin vers la maison, ma proie dans ma gueule, la tête haute. Tout à coup, j'avais vu ma mère, couché sur le sol poussieureux, les yeux fermés.
-Maman, tu te réveille... Viens on rentre... Maman...
Je lui tirais l'oreille à plusieurs reprises...
-Maman, viens, j'ai attrapé un lapin....
Je m'étais mis à crier "A l'aide, s'il vous plait !"
A ce moment précis, j'avais compris que ma mère ne reviendrais jamais... Je pleurait, je pleurait. Je m'étais couché auprès de ma mère allongé et des sanglots avaient éclatés...
Il fallait que je parte, je ne pouvez plus rester là...

Oui Flamenco, il le sait parce que là il raconte pourquoi il hait les hommes...
Mais si tu veux garder ta phrases il faut que tu mettes des tirés pour dire que c'est lui qui parle.

Je corrige (il n'y a jamais beaucoup de fautes dans le récit mais il arrive d'oublier) :

....J’étais tellement fier de moi ! Je pensais que quand je rentrerais à la maison maman sauterait de joie !!

J'avais donc pris le chemin vers la maison, ma proie dans ma gueule, la tête haute. Tout à coup, j'ai vu ma mère, couchée sur le sol poussiéreux, les yeux fermés.
-Maman, tu te réveilles... Viens on rentre... Maman...
Je lui tirais l'oreille à plusieurs reprises...
-Maman, viens, j'ai attrapé un lapin....
Je m'étais mis à crier "A l'aide, s'il vous plait !"
A ce moment précis, j'avais compris que ma mère ne reviendrait jamais... Je pleurais, je pleurais. Je m'étais couché auprès de ma mère allongé et des sanglots avaient éclatés...
Il fallait que je parte, je ne pouvez plus rester là...

Merci

Il fallait que je parte, je ne pouvez plus rester là...

Je courais non sans verser de larmes. Mais je ne trouvais point d'endroit où me réfugier. Au loin, j'aperçus une belle clairière où il y avait une eau claire et fraîche, des arbres plus haut que le bout de mon nez. Je pensais m'y reposer un instant. Soudain, un coup de feu me fit sursauter, alors je partis un peu plus loin...

Merci Sandrine !
Voici un récapitulatif du roman :

Je haie les hommes.
Je les haie plus que tout au monde.
Ils ne pensent qu'a leur argent et qu'a leurs problèmes.
Ils ne comprennent pas que nous avons un coeur, nous, les lynxs...

Par une belle journée d'été, j'etais enfin né,
ma mère me ragardait, avec ses grands yeux remplis de bonheur.
Elle m'avait apris à chasser, à me débrouiller seul, mais il y a une chose qu'elle n'a put jamais m'apprendre, la prudence. J'avais confiance en tout le monde, pour moi, les prédateurs étaient mes amis. Il y a qu'avec le temps que j'ai appris cette lotion, la prudente...
On apprend les choses toujours trop tard, du moins, c'est mon cas.
Il a fallut un accident pour que je comprenne, Malheureusement, je n'ai pas put revenir en arrière. Il était trop tard...

Ce jour-là, était pour moi un grand pas, j'allait chasser seul.
Ma mère m'avait dis bonne chance, je lui avait dit a tout à l'heure, si seulement j'avais sus, je lui aurait dit adieu...
Je partie donc chasser, les oiseaux chantaient, les abeilles bourdonnaiet, la brise sifflait...et un coup de fusil retentissait...

Sur ce coup là je ne réalisais pas que cette balle était
destinée à maman car je ne connaissais pas tout le danger. Je continuais ma
chasse et j'apercevais un lapin ! Je me cachais derrière un buisson comme maman
m’avais appris ! J’attendais une seconde et je bondissais, ferma les yeux pour avoir une surprise si j’avais
attrapé la proie ! J’ouvris les yeux et je voyais le lapin gigoté. J’ouvris
ma gueule et planta les crocs sur le coup le lapin meurt. J’étais tellement
fier de moi ! Quand je rentrerais à la maison maman va sautée de joie !! …

J'avais donc pris le chemin vers la maison, ma proie dans ma gueule, la tête haute. Tout à coup, j'avais vu ma mère, couché sur le sol poussieureux, les yeux fermés.
-Maman, tu te réveille... Viens on rentre... Maman...
Je lui tirais l'oreille à plusieurs reprises...
-Maman, viens, j'ai attrapé un lapin....
Je m'étais mis à crier "A l'aide, s'il vous plait !"
A ce moment précis, j'avais compris que ma mère ne reviendrais jamais... Je pleurait, je pleurait. Je m'étais couché auprès de ma mère allongé et des sanglots avaient éclatés...
Il fallait que je parte, je ne pouvez plus rester là...


Je courais non sans verser de larmes. Mais je ne trouvais point d'endroit où me réfugier. Au loin, j'aperçus une belle clairière où il y avait une eau claire et fraîche, des arbres plus hauts que le bout de mon nez. Je pensais m'y reposer un instant. Soudain, un coup de feu me fit sursauter, alors je partis un peu plus loin...

Au tour de Tite lolo !

Génial merci !
Au tour de Flamenco06, tu as une semaine !

De rien !! C'est dur de trouver quoi écrire !!

Très belle suite !
A moi :

Ce matin là, je m'étais réveillé tôt, contrairement a d'habitude.Le soleil venait à peine de se lever. J'entendit au loins un ruisseau, j'y alla pour m'abrever. Je m'avança vers l'eau quand je vit dans mon reflet, le visage de ma mère, elle me souriait, comme quand je venait de naître, un sourire doux et tellement agréable, un regard malicieux remplis de joie et d'amour. Une larme venant du plus profond de mon coeur me vaint et tomba sur le visage de ma mère et se reflet si doux disparut aussi soudainement qu'il était apparut. La seule chose que j'ai put réaliser, c'est que quand une personne n'est plus là, on pense à elle encore plus que quand elle était encore sur terre et que pour aimer une vivante, il faut l'aimer comme si elle devait mourir demain... Cette phrase tourbillonait dans ma tête comme une tornade, mais je ne voulais pas la croire mais c'était la vérité. Je n'étais pas gentil avec ma mère, et la dernière parole que j'avait pu lui dire c'etait "laisse moi aller à la chasse seule, ne t'en mêle pas, a tout à l'heure" ! Maintenant qu'elle n'est plus là, je l'aime, je l'adore, elle me manque !!!

Je me retournait pour partir, quand je vit un petit biscuit par terre. Je le mangea et j'en vit un autre, et tout cela sur un petit circuit ! C'était super j'avais tellement faim ! Tout à coup, je pris un biscuit, et m'étais retrouvé dans une cage, c'était en fait un piége....

Au tour de Sabot dans la Main. Tu as une semaine ;)

Pffff laissez tombez, sa fait plus d'une semaine que Sabot dans la Main est pas venue sur le forum de toute façon a chaque fois elle oublie le roman, pourtant sur son forum, vous pouvez être tranquille, elle y est 24h sur 24 !
Si ça continue on va la desinscrire du roman !!!

A ton tour sandrine ;)

Tu lui as envoyé des MP ?